L’armée est souvent synonyme de virilité, mais savez vous que chez les hommes en treillis il y a également des mecs homos ? Pour plus de détails à ce sujet, voici le récit d’un sous officier de l’armée de terre qui nous racontent ses escapades sexuelles dans les casernes. Néanmoins, pour préserver la confidentialité de notre invité, nous allons juste l’appeler Gérard.
Gérard, racontes nous tes premières expériences gays dans l’armée ?
Pour commencer, je tiens à dire qu’avant d’intégrer l’armée, j’étais déjà homo. Tout d’abord discret, je n’ai communiqué ma sexualité avec personne. Mais un jour d’automne, j’ai fait une bourde, mon instructeur m’a alors donner une correction particulière. Au moment où, il me trainait par terre, j’ai fait un gémissement par accident. Il m’a dit ensuite, « t’aime ça hein ? », après, il a commencé à mettre son doigt dans mon anus et je me suis mit à gémir encore plus. Comme on s’est rendu compte tous les deux qu’on était gay, il m’a proposé de continuer ça dans une forêt tout prêt de la caserne. Dès le moment où on était assez loin, il m’a poussé par terre et commencer par attacher mes mains avec sa ceinture et m’avait bâillonné la bouche avec mon teeshirt. Véritable expert en bondage, il m’a entièrement ligoté et a fait de moi ce qu’il voulait. Je lui demandé ensuite que je voulais également lui péter la rondelle, mais il m’a pas laissé ce plaisir.
Même si c’était assez douloureux, j’adorais cette expérience car c’est la première fois que pratiquais le bondage gay et depuis, je suis devenu entièrement accro.
Qu’est ce qui c’est passé ensuite ?
Depuis cette aventure, je savais qu’il y aurait bien une deuxième fois et j’étais plus qu’impatient pour que mon instructeur revienne me voir! Ne voulant pas trop attirer l’attention, il m’a proposé un rendez vous en dehors de la caserne. D’un ton très franc, il m’avait dit de retenir ma langue. Ensuite quand il a commencé à gagner ma confiance, il m’a parlé de l’existence une communauté secrète dédiée pour les gays dans l’armée. Très naturellement, j’ai rejoins le groupe et périodiquement on se réunit pour vivre des expériences coquins entre mecs. Et comme vous le savez bien entre militaire, c’est souvent des ébats hard core et masochiste.
Est-ce que vous êtes nombreux à être gay dans l’armée ?
Chez nous, c’est un sujet très sensible. Mais pour tout vous dire, dans notre caserne seulement, on est une bonne dizaine et il y a même des officiers. Pour que nous soyons plus incognito, on discute avec des phrases codées. Et lorsqu’il y a des nouveaux recrus, nous avons nos propres méthodes pour détecter les mecs gays ou bisexuels.
Et en mission, comment ça se passe ?
C’est très excitant, de plus, comme je suis gradé, je choisi toujours un binôme gay pour patrouiller avec moi. En chemin, on sait toujours comment s’y prendre pour se donner du plaisir tout en restant concentrer sur notre boulot.
Pensez vous rendre public votre orientation sexuelle ?
Jamais et c’est un code d’honneur entre nous ! En aucun cas, je ne dirais que je suis gay même si je quitte l’armée. Actuellement, je suis en couple avec un homme, mais je reste très discret. Il est un civil, mais il sait bien se retenir sur ses faits et gestes en public car il est conscient à quel point ma situation est délicate.
Merci pour votre témoignage et un petit mot pour la fin ?
Je vous en prie, de plus merci à vous car ça m’a fait du bien de me confier comme ça. En guise de message pour vos lecteurs, je tiens à dire une chose. Avant tout, n’ayez pas peur d’assumer votre orientation sexuelle et sachez vivre heureux tel que vous êtes. Si les gens vous juge, dites vous bien que vous n’êtes pas le seul à encaisser ces préjugés et soyez toujours fort.