La grande majorité des gens fantasme sur les propos vulgaires pendant les rapports sexuels, en particulier ceux qui fantasment sur le BDSM. Mais transformer ces fantasmes en réalité peut être un défi si vous ne savez pas quoi dire ou si vous avez peur de laisser échapper quelque chose d’embarrassant qui tuera l’humeur. Notre guide de « dirty talk » BDSM rassemble tout ce que les couples pervers ont besoin de savoir.
Pourquoi parler salement ?
Les mots crus plaisent à différentes personnes pour différentes raisons. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les insultes sont une partie amusante du BDSM:
• Elles améliorent une dynamique dominant/soumis
• Cela peut intensifier tout ce que vous ressentez et expérimentez.
• Cela aide les deux personnes à rester présentes et concentrées.
• C’est amusant de jouer avec les tabous.
Comment insulter dans le BDSM ?
Les exemples suivants sont simplement un point de départ, pas un script. Déterminez ce que le vocabulaire et les épanouissements personnels fonctionnent pour vous compte tenu de votre sexe et de votre rôle et partez de là. Et n’hésitez pas à mélanger et assortir les différentes approches ; beaucoup se chevauchent.
• Posez une question : poser une question à votre partenaire est le moyen le plus évident de lancer un dialogue pervers.
• Dominant : Si je te laisse venir, qu’est-ce que tu vas faire pour moi ? / À qui appartiens-tu ?
• Soumis : Pensez-vous que les gens dans la rue aujourd’hui savaient que j’étais votre pute ? / Aimez-vous me contrôler ?
• Donner des ordres : Donner des ordres est généralement associé à un rôle dominant et est un moyen direct d’amener un soumis à faire ce qu’on lui dit. Les ordres sont également un excellent moyen d’amener les soumis timides à répondre. La mendicité est plus ou moins la version soumise du commandement et peut varier en intensité.
• Dominant : Mets-toi à quatre pattes au milieu du lit. / Touche-toi et ne t’arrêtes pas à moins que je ne te le dise. / Dis-moi quelle putain de salope tu es. / Penche-toi sur mes genoux. / Mets-toi à genoux et rampe.
• Soumis : S’il vous plaît, monsieur, j’ai besoin de votre bite en moi. / Maîtresse, laissez-moi vous lécher la chatte. / Je veux sentir votre sperme sur mon visage. / J’ai besoin que vous me punissiez. / J’ai besoin d’une fessée sévère.
• Compliments : Les compliments peuvent être ce que l’on pourrait considérer comme traditionnels, mais ils peuvent aussi être intelligemment intégrés à l’humiliation.
• Dominant : Ton cul est si serré. / Seule une salope comme toi pourrait me faire du bien. / Tu es la meilleure pute que j’ai jamais baisé. / Tu vas me faire jouir, salope.
• Soumis : Votre bite est incroyable. / Vous êtes le seul à pouvoir me faire jouir. / J’adore la façon dont vous me contrôlez.
• Confessions : c’est un excellent moyen d’incorporer les fantasmes que vous avez sur votre partenaire.
• Dominant : J’ai pensé à te pencher sur ce canapé et à te donner une fessée toute la journée. / Tout le temps que nous étions dehors ce soir, je réfléchissais à la façon de te punir quand nous sommes rentrés à la maison.
• Soumis : Je n’ai pas pu dormir la nuit dernière parce que je pensais à m’étouffer avec votre bite. / J’ai dû me toucher au travail aujourd’hui parce que je pensais à cette fessée que vous m’avez donnée.
• Humiliation : l’humiliation est très individuelle et ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour quelqu’un d’autre.
• Dominant : Vous avez été fait pour être utilisée comme une pute. / Tout le monde à cette soirée pourrait dire que tu es ma pute à la seconde où ils t’ont vu. / Seule une salope sale et méchante comme toi viendrait avec un couteau sous la gorge.
• Soumis : j’ai été faite pour être utilisée comme une pute. / Je mérite d’être utilisée comme une sale conne.
• Soyez agressif / résistez : Une approche agressive fonctionne bien pour toute scène où vous souhaitez incorporer une humiliation plus rude. Pour les soumis, résister peut être la réponse à l’agression.
• Dominant étant agressif : Tais-toi, espèce de conne ! / Je ne m’arrête pas même si tu cries.
• Soumis (résistez) : Lâchez-moi, putain de cochon ! / Je ne me soumettrai jamais à un connard comme vous.
• Menace / provocation : les menaces peuvent facilement être incorporées dans des jeux plus difficiles, mais elles peuvent aussi être plus orientées vers la discipline. En réponse, les soumis peuvent obéir ou peuvent narguer le dominant à la place, ce qui est une façon amusante de signaler que le dominant doit continuer ou être plus brutal.
• Dominant (menace) : Si vous quittez cette position, vous serez puni.
• Soumis Obéissant : Oui, monsieur.
• Soumis provocant : Va te faire foutre. / C’est tout ce que tu as, enculé ?
Thanks.