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Gay et militaire : j’ai découvert le bondage

Je m’appelle Franck, et je suis militaire dans une caserne du Nord de la France. Tout ce qu’il y a de plus viril pour ainsi dire. Pourtant, j’ai un petit secret que je souhaite partager avec vous : je suis aussi gay. Peu de mes amis sont au courant et encore moins parmi mes collègues de travail

Pourtant, je prends énormément de plaisir avec les hommes. Alors imaginez comme cela peut être frustrant lorsque je suis en train de me changer avec tout un bataillon de garçons nus, musclés et luisants sous la douche. Il m’arrive d’essayer de me masturber discrètement. Toutes ces bites, immenses pour la plupart, autour de moi. Comment y résister ?

Afin d’assouvir tous mes fantasmes, je pratique aussi, et surtout devrais-je dire, le bondage. Cette relation dominant dominé a toujours été présente en moi. Je ne savais pas vraiment y répondre jusqu’à ce qu’un partenaire me propose de l’attacher afin de le sodomiser. Cela m’a semblé étrange au début, et finalement, il me semble que lors de l’acte sexuel, il faut vraiment que l’un des partenaires prenne le dessus sur l’autre. Le fait d’imposer sa loi à l’autre, ou au contraire de subir totalement ce que l’autre veut est clairement le piment de l’acte. Se faire attacher et ne plus être maître de ce qui va se passer a un côté aventure et vraiment excitant. Et il faut bien le reconnaître, ce sont les militaires qui baisent le mieux. Avec certaines techniques de ficelage que nous avons apprises, il est facile de mettre un autre homme à ses genoux, et l’immobiliser totalement. A nous ensuite de profiter au mieux de cette situation pour que la partie de sexe soit mémorable. Que ce soit pour le maître, comme comme pour l’esclave, il n’y a qu’une priorité : le plaisir !