homosexualité dans l'armée

A 50% de chance, tu peux vivre une expérience gay à l’armée

A l’armée, on ne parle presque jamais de l’homosexualité. Et comme c’est l’institution la plus virile qui existe, traiter un militaire de gay pourrait mener à des ennuis. Pourtant, on ne peut pas cacher la réalité. En effet, tu as plus de chance de vivre une expérience gay lors de ton engagement que de travailler dans le domaine de la mode.

En pleine mission, il n’y a pas de femmes

Quand on t’envoie sur le front, il est très rare que tu puisses rencontrer une femme. Donc, pendant les patrouilles dans les montagnes froides de l’Afghanistan, tu as forcément besoin d’un peu de chaleur. Durant ses moments, tu ne penses à rien, mais tout ce que tu souhaites c’est d’avoir chaud. Et la meilleure méthode pour parvenir à ce but, c’est de se donner du plaisir mutuellement. Quand un homme est en érection ou ait une activité sexuelle, il pourrait moins ressentir le froid. Ajouter à cela, il y a également le manque de sexe. Donc pour assouvir ses besoins, il faut se dépanner par le biais d’une petite expérience gay.

Trop de contact physique accroit l’excitation

A l’armée, le contact physique entre mecs est un fait quotidien qui semble bien banal. Mais c’est sans conséquence côté sexuel car, plus ton sexe se frotte à un corps, plus tu commences à y trouver du plaisir. A part cela, quand tu es un soldat, tu partages tout avec tes collègues (douche, vestiaire, couchette…). A un moment, donc tu pourrais avoir un regard sur d’autres hommes surtout quand il est bien bâti. Pour certains, c’est tout à fait irrationnel, mais il faut vivre l’expérience pour mieux le constater.

On peut donc être hétéro, mais on peut aussi avoir des attirances pour les personnes de même sexe que soit. Et c’est scientifique, si tu passes ton temps par exemple à regarder ces mecs au corps d’athlète se défoncer le cul sur xlovegay, tu pourrais finir par avoir du désir sur eux.  

Les bizutages militaires ressemblent trait pour trait à un bondage

Quand tu es un petit nouveau dans l’armée, il est fort probable que ton bizutage ne serait pas du tout une partie de plaisir. En effet, c’est toujours très brutal. Les autres gars te malmèneront, t’insulteront et  t’attacheront. Si on observe cette pratique de plus près, il est surtout proche du bondage gay que d’un bizutage militaire. En plus, quand les testostérones montent, on peut finir par avoir des envies sexuelles en faisant cette pratique surtout si on joue le rôle des persécuteur.

Et ce n’est pas vraiment un cas isolé, un militaire qui a l’habitude de soumettre des gens auront tendance à avoir ce besoin dans le civil. Et c’est pour cette raison que la plupart des scènes de bondages sont inspirées des bizutages de types militaire.

Plus tu es viril plus tu as tendance à chercher un partenaire badasse

La virilité reflète surement la masculinité. Mais quand tu deviens trop viril tes envies peuvent changer. En effet, si tu pratique le BDSM avec une femme, tu peux finir par vite te lasser car elle pourrait ne pas tenir le rythme. Si tu es avec un partenaire masculin par contre, tu peux exprimer beaucoup plus ta virilité car contrairement à une femme, il ne serait pas facilement domptable. Et c’est là que vient tout le plaisir car si on a en face de soi un partenaire costaud, on peut avoir beaucoup plus d’excitation.

Beaucoup de militaires ont déjà témoigné

Si vous pensez que je dis sont des sottises, lisez les propos de ces mecs qui ont déjà vécu une expérience gay quand ils étaient à l’armée :

Bryan a fini par trouver son binôme mignon après 5 mois de missions

« J’étais dans l’armée pendant 4 ans. Et durant mon engagement, j’ai vécu quelques expériences gays. Au départ, ça m’a un peu troublé, mais quand je suis retourné à la vie civile, je suis redevenu un mec hétéro. La plus folle de mes expériences s’était déroulée quand on était en mission dans un désert en Afrique. Durant les premiers mois, je commençais à avoir une envie grave de sexe. J’ai alors feuilleté mes magazines pornos et je me branlais. Mais le comble, c’est que ça n’arrêtait pas mes envies. Au bout de 4 mois, je commençais à délirer un peu car je trouvais mon binôme mignon. C’était complètement fou car quand il se déshabillait, je trouvais ça sexy. Et ce qui est encore dingue, c’est qu’il ressentait aussi la même chose. Pourtant, on est tous les deux des hétéros et on avait la retenue de ne pas franchir ce pas vers une expérience homosexuelle. Mais c’était plus fort que nous. On s’est alors débrouillé pour trouver de l’alcool et on s’est soulé. Une fois bien alcoolisée, on commença à avoir des relations gays. Après ça donc, ça nous a un peu soulagé. Et ce qui était aussi cool, c’est qu’après avoir vécu ça, je n’ai pas trop eu de panique homosexuelle. »

Tristan a participé à une branlette collective dans une douche commune

« A l’armée, c’est comme être dans une classe. Mais ce qui manque seulement, ce sont les filles. Et comme nos chefs de sections savent bien que la compagnie est en manque, toutes les filles dormaient dans un dortoir très sécurisé. Face au manque donc, on a commencé par avoir des idées folles. Pendant une douche commune, un collègue a fait une petite blague à un pote en disant qu’il a un joli petit cul. Il s’est alors mis à l’œuvre en faisant des danses érotiques et toute la section en a profité pour s’astiquer la bite. »

Eric a déjà participé à une masturbation mutuelle

« Je n’ai pas honte de le dire, à l’armée, j’avais déjà branlé un mec et je me suis déjà aussi fait masturber. Chez nous, c’est quelque chose de très banale même si on n’en parle pas souvent publiquement. Pour mon cas, quand on était dans la jungle amazonienne pendant des semaines, on a fini par avoir des envies sexuelles. Pour accroitre le plaisir donc, il fallait qu’on se fasse toucher par une tierce personne et c’est pendant ces moments là que j’avais vécu ces genres d’expériences. »

Alves était la travestie de son peloton

« Je suis un mec gay. Et je l’étais déjà avant d’intégrer l’armée. Au début de mes carrières militaire, je cachais ça. Mais je me suis fait finalement griller par des collègues. C’était super gênant, pour moi, toutefois notre peloton l’a bien pris. Quand on était en mission donc et que les mecs étaient en manque, je me déguise en travestie pour les chauffer un peu. Et pour tout vous dire certains ne font pas seulement qu’admirer le spectacle. Comme moi je suis un mec gay, je ne refuse jamais si quelqu’un voudrait avoir ne petite fellation.