bondage hardcore

Les formes les plus hardcores du bondage gay

Depuis que le bondage gay est devenu assez populaire, il existe plusieurs techniques qui ont été concoctées exclusivement pour les amateurs et les débutants. A partir de divers accessoires normalisés comme la barre écarteur, les menottes et les camisoles, tout couple gay peut désormais faire du BDSM entre eux sans être expert en la matière.

Néanmoins, pour ceux qui restent des inconditionnels du bondage extrême, voici pour vous les techniques les plus hardcores qui peuvent vous procurer douleur et plaisir.

Le ligotage en suspension

Pour ceux qui ont un niveau intermédiaire en matière de bondage, il est recommandé d’utiliser des câbles au lieu de chaines quand vous pratiquer cette technique. Pouvant se faire de plusieurs manières, le ligotage en suspension se compose tout de même de trois positions bien distinctes :

  • La suspension verticale et inversée: dans ce cas précis, la personne ligotée est suspendue en ayant les poignets ou les pieds attachés. A partir de cette position, la personne qui joue le rôle de maitre pourrait lui faire subir n’importe quel type de torture. Mais attention quand même, le fait de faire suspendre trop longtemps une personne au niveau de ses pieds pourrait lui faire perdre connaissance.
  • Et la suspension verticale: assez compliquer à faire, le plus simple pour réaliser cette technique est d’attacher les mains et les pieds de votre partenaire sur une barre écarteur pour ensuite le suspendre sur le plafond. De plus, c’est également la meilleure position pour le pénétrer tout en étant suspendu.
bondage en suspension
Bondage verticale

/!\ : Mise en garde : le ligotage en suspension est l’une des techniques de bondage les plus dangereuses. Alors, si vous n’êtes pas réellement expérimenté, n’essayez surtout pas de la pratiquer sauf avec l’assistance d’un expert en BDSM.

Le bondage des organes génitaux

Egalement très hardcore, le bondage des organes génitaux peuvent être très douloureux mais aussi excitant. Parmi les techniques les plus connues, il y a :

  • Le tamakeri: technique de torture japonaise, elle consiste à torturer son partenaire en pinçant ou en donnant des coups à ses testicules. Pouvant être très douloureuse, il est toujours recommandé de savoir mesurer les coups que l’on porte afin d’éviter tout accident.
  • L’usage de  ballstretchers : très courant chez les gays, cet accessoire étire les testicules de votre partenaire et lui inflige une douleur insupportable. Il peut également l’empêcher de jouir car les spermes auront du mal à remonter vue que les canaux déférents sont trop serrés. Pour les cas les plus extrêmes, il est même possible de mettre une charge de plusieurs kilos au niveau du ballstretcher.
  • La bougie ou la cire : autre forme de torture du pénis, à votre guise, vous pouvez soit faire fondre au dessus du pénis de votre esclave sexuel la bougie ou utiliser une cire chaude. Pour cette dernière, vous pouvez en profiter pour épiler ses parties intimes. Néanmoins, pour lui ça ne va pas être tout rose car c’est extrêmement douloureux.
  • L’électrocution: très courante dans le BDSM, cette technique consiste à utiliser un appareil spécifique afin d’injecter une décharge électrique sur les parties intimes de son partenaire. Néanmoins, elle reste également très dangereuse, surtout si les équipements utilisés ne répondent pas aux normes.

/!\ : Mise en garde : les techniques de BDSM infligées sur les organes génitaux peuvent entrainer la stérilité. De ce fait, tâchez toujours de modérer vos gestes et en cas de doute, n’entreprenez jamais une technique que vous ne maitrisez pas.

Le bondage à l’ancienne

Basé sur le kinbaku, ou encore le Shibari, cette technique de bondage ne nécessite pas vraiment l’acquisition d’accessoires couteux. En effet, se basant sur le bondage japonais, pour le pratiquer, il faut tout simplement savoir maitriser l’art de ligoter. Egalement appelé Hojōjutsu, c’est un mélange d’art et d’érotisme.

Afin de mieux maitriser cet art de bondage, il est souvent impératif de se former en contactant un professionnel ou bien en se basant sur des livres ou des vidéos.

La torture cérébrale

Généralement, un bondage gay n’en est pas un s’il n’y a pas de torture cérébrale. Effectivement, c’est même le préliminaire d’une partie de BDSM entre homos. Parmi les techniques qui marchent souvent le plus, il y a le fait de mettre une camisole pour l’immobiliser, d’une cagoule pour le désorienter, d’un bâillon pour le faire taire ainsi que d’un collier pour le malmener. Une fois qu’il ne peut plus faire quoi que ce soit pour vous résister, vous pouvez ensuite lui faire des insultes ou lui dire des mots rabaissant.

Après qu’il vous supplie d’arrêter, vous devriez le cuisiner encore un peu. Et par la suite, vous pouvez lui enlever la cagoule ou le bâillon. Mais si jamais il vous tienne tête après ça, remettez de nouveaux ces accessoires de tortures. Le but de ce jeu est donc de lui infliger une torture extrême psychologique jusqu’à ce qu’il devienne complètement votre esclave sexuel.

L’écartement extrême

En matière de bondage, les écartements sont des impératifs, mais pour ce cas précis, le supplice est 10 fois plus hard. Quand vous écartez donc les jambes et les cuisses de votre esclave sexuel, vous ne devriez pas vous arrêtez que lorsque la douleur est vraiment insoutenable. Toutefois pour éviter les déchirures musculaires, obligez d’abord votre partenaire à faire des étirements. A travers cet exercice, vous pouvez également découvrir ses limites plus facilement et évitant ainsi les accidents.