J’ai fait la rencontre d’un gay SM assez ouvert à l’abdl sur un site de rencontre. Puisque je suis bisexuel et que les femmes nurses se font plutôt rares, je me suis laissé tenter par une aventure, histoire de vivre des moments torrides. À peine avions-nous fait connaissance, que nous nous sommes échangé nos emails, nos numéros de téléphone et avions décidé de prendre rendez-vous. Sa personnalité me surprit énormément. Elle ne laissait pas entrevoir son côté sombre. Notre première rencontre était basée sur des discussions, suivie de quelques claques sur les fesses. En gros il prit soin de moi telle une nurse. Il s’amusait à faire germer de nouveaux fantasmes en moi en me montrant des images de soumis, qui étaient pour une part ses amis. Il me racontait par moment le déroulement des stages de soumis chez lui, le matériel et l’atmosphère qui étaient au rendez-vous lors de ces séances. Tous ses récits images à l’appui me donnèrent envie de faire des stages chez lui. Nous nous sommes donc entendus sur stage BDSM beaucoup moins hard et l’usage de couches pour certaines pratiques. Je trouvais que les vacances de la Toussaint étaient le moment rêvé pour expérimenter un stage en DL forcé et cette idée m’excitait énormément. Moyennant un paiement de 200 euros, je me voyais offrir tout le long de mon stage, les lubrifiants et le préservatif, le gite et le couvert et des couches.
Un début plutôt enflammé
Le vendredi suivant mon arrivée, je subis une douche suivie d’un lavement anal. Il me mit ensuite un collier d’esclave, me servit du whisky cola extrêmement tassé et se mit enfin à m’expliquer en quoi consistera le jeu. Je signai ensuite sans lire et tout en lui vouant une confiance aveugle, une décharge afin de le désengager de tout incident.
Il m’enfila une camisole de force, m’installa dans un sling les jambes en V et s’attelait à me dilater tout doucement l’anus les mains gantées. Après un massage exquis de la prostate, il fit sortir son sexe et se mit à me pilonner comme un fou. Il me contraint ensuite à lui faire une fellation, avant de revenir s’attaquer à mon anus. Il me libéra ensuite de ma camisole, me mit ensuite une couche qu’il renforça avec du scotch, avant de me faire manger à même le sol. Il me mit ensuite dans une cage, retenue avec des menottes de policier, il me donnait un biberon qui contenait du whisky cola toujours autant tassé.
J’ai passé la nuit la plus rude de toute ma vie. Le réveil fut forcé. J’ai tenté de résister lorsqu’il a voulu faire passer ma tête à travers un trou. Il m’envoya des décharges électriques et me fit signer deux autres décharges qui stipulaient que je devais désormais me taire et subir. La tête hors de la cage, je lui fis donc une fellation et reçu une bonne dose de sa semence en guise de petit déjeuner.
Passage au niveau supérieur et dénouement
Il me retira la couche, me fit prendre une douche, me fit un lavement anal et me donna le même breuvage au biberon. Il appliqua une crème sur mon orifice anal et me complimenta pour ma résistance psychologique en mettant l’accent sur le fait que de nombreuses personnes auraient abandonné.
Vêtu d’une camisole de force et trainé dans une pièce plutôt étrange, il me fit empaler sur une barre verticale qui portait un genre d’équerre muni d’un plug anal. Les jambes parfaitement écartées, je m’empalais de plus en plus profondément sur ce plug. De plus, il me posa une pince à tétons munie d’une cockring et un étireur de couilles. Entre dilatation anale, ingestion d’urine, anus dilaté à l’aide de plug anal, coups de fouet et défonce anale à coups de bites, ce stage ne fut pas de tout repos, mais je sais désormais que j’aurai beaucoup plus de plaisir avec un homme.